🫎 Mauvais Coup À Faire À Son Ennemi
Déciderd'une réconciliation n'est jamais chose aisée Photo : DR.
Côtéalimentation, veillez à réduire votre consommation de substances excitantes comme le sucre, la caféine et le thé après 14h. Enfin, bannissez les écrans au moins 2h avant d’aller
Ennemide Bart: Créé par Matt Groening: Séries Les Simpson: Première apparition Terreur à la récré : Doublage Nancy Cartwright (VO) Régine Teyssot (VF) Hugolin Chevrette-Landesque (VFQ) Nelson Mandela Muntz est un personnage de la série télévisée Les Simpson. C'est une brute âgée de 10 ans qui passe son temps à errer dans les rues en quête d'un mauvais coup
LesÉtats-Unis tiennent absolument à faire de la Chine un ennemi. L’industrie de l’armement américaine a besoin d’ennemis. Sans ceux-ci, il est difficile de justifier un budget
Lennemi le plus lucratif, outre la Russie, est bien sûr la Chine. Mais il y a un problème. La Chine n’a aucun intérêt à être un ennemi des États-Unis et certainement pas à être l’ennemi numéro 1. À ses yeux, cela ne fait qu’absorber des ressources qui seraient mieux utilisées ailleurs.
7 Le carton a remplacé tout le mobilier et l'équipement informatique. La journée va être longue 8- Une fausse scène de crime. 9- Mettre l'écran d'ordinateur à l'envers. 10- Faire croire que l'ordinateur est éteint. En réalité, il faut mettre un fond d'écran noir et cacher les icônes.
2 Nous distraire. Le passage de Luc 4 nous révèle une seconde tactique de l’ennemi : la distraction. Si le diable arrive à nous détourner des voies de Dieu, il réussit à nous empêcher d’obéir à Sa volonté. Mais s’il ne parvient pas à nous arrêter, il peut au moins nous retarder et rendre nos efforts moins efficaces.
Dansnotre vie quotidienne, plusieurs facteurs, plusieurs bloquages nous arrivent à cause de certaines choses souvent naturelle de notre comportement.Ainsi,nous avons du mal à saisir des opportunités, à faire ce dont nous avons le plus envie.Ces facteurs sont ce que nous appelons Les ennemis de la vie.Ils(quand ils prennent le dessus sur nous)nous empêchent de
Lemauvais coup de pub de Telecom Bretagne. Mis à jour le 23 mai 2019 à 12:13. par La rédaction . Pour présenter leur université, élèves et professeurs de Telecom Bretagne
IBjr3Og. Entrer en contact et collaborer avec les influenceurs, c’est le Saint Graal » des marques. Mais comment les contacter et communiquer avec eux faut-il gâter les influenceurs et leur envoyer plein de cadeaux ? Les payer ? Leur envoyer des communiqués de presse traditionnels ? Une chose est certaine, il ne faut pas oublier que nous nous adressons à des humains ! La preuve, pour nous éclairer sur le sujet, nous avons interrogé deux blogueurs influents dans leur secteur et on confirme ils sont bien humains Gregory Pouy, marketer et blogueur depuis 9 ans. Il est à l’origine du blog Greg from Paris La Mercatique qui traite de Marketing. Et Clément Pellerin, Community Manager freelance et formateur en Community Management. Il anime un blog qui traite du Community Management et des Réseaux Sociaux. Ils nous font part de leur point de vue et de leurs expériences sur le sujet. 5 choses à NE PAS FAIRE dans les relations influenceurs5 choses à FAIRE dans les relations influenceurs 5 choses à NE PAS FAIRE dans les relations influenceurs 1. Spammer les influenceurs C’est le BA pour établir une bonne prise de contact ! Grégory et Clément reçoivent des centaines d’emails. Si les emails ne sont pas personnalisés, ou si ils n’ont aucune idée de l’expéditeur, ils ne les liront pas ! Mettons de côté les emails et communiqués de presse envoyés en masse comme des bouteilles à la mer ! 2. Considérer les influenceurs comme des panneaux publicitaires Comme évoqué en introduction, les influenceurs sont des personnes. Pour beaucoup de blogueurs, le blog n’est pas leur profession principale, ni ce avec quoi ils gagnent leur vie. Ils n’attendent pas après les marques ! Gregory nous rappelle également qu’ils ne sont pas stupides et savent très bien ce que cherchent les marques ! Mieux vaut jouer la carte de la transparence et de l’honnêteté lorsque nous contactons un influenceur, sans oublier, bien entendu, de connaître son profil et sa ligne éditoriale pour l’anecdote, une marque a déjà demandé à Clément d’insérer des liens sponsorisés vers le site d’un organisme de formation pour Community Manager ! No comment 3. Bombarder de cadeaux Non, les influenceurs n’attendent pas d’être couverts de cadeaux ! Premièrement, beaucoup de cadeaux sont inutiles. Grégory nous donnait l’exemple de blogueuses beauté qui recevaient en cadeau toutes les teintes d’un même rouge à lèvre, bien qu’elles n’aient pas 36 milles bouches ! Avec cette approche, les goodies des marques s’entassent ou sont donnés à des associations, des amis, mais ce n’est pas pour autant que la blogueuse en parlera sur son blog. Deuxièmement, recevoir des cadeaux chers peut parfois mettre les blogueurs mal à l’aise, et leur donner la sensation que la marque souhaite les acheter » ! 4. Inviter les influenceurs à des soirées puis les oublier Les soirées c’est bien, c’est sympa, l’occasion idéale de créer la relation avec les influenceurs ! Mais si lors des soirées que vous organisez vous oubliez complètement d’aller parler aux influenceurs que vous avez invités mise à part le petit discours officiel de la marque, alors ils vont profiter de la soirée avec leurs amis et ce qu’ils en retiendront, comme nous le dit Gregory, ce sont 2, 3 photos avec les copains », et non pas la marque et ses produits ! 5. Inviter des personnes qui ne s’entendent pas Restons dans le thème des soirées et autres événements où sont conviés les influenceurs. Les blogueurs ou autres influenceurs sont des êtres humains et comme toute personne, il se peut qu’ils ne s’entendent pas entre eux ! L’idée n’est pas de travailler avec un blogueur et pas un autre car ils ne s’entendent pas, mais de faire preuve de bon sens lorsque vous invitez une personne à un événement, une de ses premières questions sera de savoir qui sont les autres personnes présentes. Si vous sortez le nom de l’ennemi juré, peu de chance que votre influenceur accepte l’invitation. Pire, si il se rend compte, une fois présent à l’événement, que l’ennemi juré est là, il passera surement un mauvais moment et pour le coup, ne manquera pas d’associer ce mauvais moment à la marque ! 5 choses à FAIRE dans les relations influenceurs 1. Personnaliser la prise de contact C’est en lien avec ce que nous évoquions plus haut ne pas spammer cela implique d’avoir une approche personnalisée et de savoir à qui nous nous adressons. Alors oui, avant de contacter un blogueur, il est préférable de lire son blog, même si cela peut prendre du temps, savoir les thématiques qui y sont abordées et quelle est sa ligne éditoriale. Travailler avec des agences peut, pour Clément, accélérer la prise de contact avec les influenceurs ; les personnes qui travaillent dans les agences sont déjà investies dans le réseau et connaissent certains blogueurs. 2. Proposer de véritables expériences Comme nous l’avons vu, les cadeaux envoyés à tout va ne sont pas utiles. Reprenons l’exemple de Gregory et des blogueuses beauté. Au lieu d’envoyer toutes les teintes du rouge à lèvre, il est préférable de contacter la blogueuse pour savoir quelles sont ses couleurs préférées ou celles susceptibles de l’intéresser. L’approche est plus personnelle. De la même manière, Gregory nous confiait qu’une visite dans les locaux d’une entreprise où il a l’occasion de faire de vraies rencontres est plus enrichissante pour lui que des soirées impersonnelles. 3. Lire les commentaires sur les publications en lien avec vos marques Une retombée dans un blog n’est pas à considérer comme une campagne de pub. Il est essentiel de suivre et d’écouter les commentaires laissés par la communauté ; ils vous apporteront des informations précieuses. Comme le souligne Gregory, l’influenceur ne vous permet pas de vendre directement vos produits, vos solutions, ni d’avoir plus de notoriété, mais de pouvoir toucher sa communauté et obtenir l’avis des personnes qui la composent. Pour créer une bonne relation avec un influenceur il faut respecter sa communauté et écouter ce qu’elle dit. 4. Entretenir la relation Grégory et Clément n’apprécient pas les relations one shot » ; ils cherchent des relations sur la durée. Alors même si vous n’avez pas d’actualité en particulier, rien à proposer à vos influenceurs pensez tout de même à entretenir la relation et garder le contact les saluer lorsque vous les voyez à des événements par exemple. Un peu ce que vous feriez avec des amis finalement D’autres conseils à ajouter ou des expériences à partager? N’hésitez pas! Et encore un grand merci à Clément et Grégory d’avoir répondu à nos questions ! By Launchmetrics Content Team L'équipe Contenu de Launchmetrics est toujours à la recherche de nouvelles tendances dans les secteurs de la mode et de la technologie. Nous sommes des geeks stylés, amoureux des belles histoires!
Description du sort du mauvais œil Tout d’abord, sachez que le sort du mauvais œil ne pourra s’appliquer qu’à une personne méritant réellement d’être punie. Nous verrons plus loin pourquoi un tel sortilège sera inefficace sur une personne vertueuse. Le sort du mauvais œil est beaucoup plus puissant que le sort de malchance. Il attire durablement un immense malheur sur son ennemi Il provoque une écrasante misère, beaucoup plus durable que le sort de faillite. Ensuite, il s’attaque implacablement au physique et au mental de votre ennemi maladies, accidents, démence … Enfin, il éloigne de manière définitive tous les proches conjoint, enfants, amis… Seul un puissant désenvoûtement peut supprimer le sortilège du mauvais œil. En savoir plus sur la magie noire Si vous êtes sur cette page, c’est que la magie noire vous intéresse. Certains veulent simplement s’informer, d’autres la pratiquer, pour avoir le pouvoir d’envoûter une personne. Afin d’en apprendre plus, je vous conseille de lire la partie magie noire ». En effet, vous trouverez de nombreuses informations sur cette forme de magie millénaire. Enfin, pour ceux qui souhaitent faire ce sortilège du mauvais œil, vous trouverez toutes les informations nécessaires les ingrédients, les outils indispensables, l’élaboration et la période propice à ce sort de magie noire. En outre, vous trouverez en fin de page bien d’autres sortilèges gratuits. Il faut souligner qu’il est important de croire au pouvoir de la magie noire. En effet, si vous faites ce sort de rupture simplement pour voir s’il fonctionne, alors il est fort possible que vous n’obteniez aucun résultat. Il est indéniable que les envoûtements de magie noire font appel à de nombreuses énergies, dont la vôtre. Le fait de projeter mentalement le résultat canalise toutes ces énergies. Par conséquent, un manque sérieux ou de foi réduira les résultats et peut même les annuler. S’il est bien réalisé, ce rituel de magie noire est très efficace et les résultats sont généralement rapides. Cependant, il est important de prendre en compte les risques de la magie noire avant de la pratiquer. La sorcellerie noire et ses risques La sorcellerie, qu’elle soit blanche ou noire, ne laisse personne indifférent. Ses envoûtements peuvent intéresser, faire peur ou passionner plusieurs catégories de personnes Les curieux désirent simplement s’informer sur ses possibilités ou sur ses risques. Les victimes, elles, souhaitent soit briser un envoûtement de magie noire, soit se venger de quelqu’un. Ceux qui veulent pratiquer la sorcellerie noire pour faire le mal. Si vous faites partie de cette dernière catégorie, sachez que vous ne trouverez ici aucun sortilège de magie noire qui agira sur une personne qui ne le mérite pas voir les raisons ci-après. Le risque sur la personne faisant le sortilège Il existe de très nombreux sorts du mauvais œil à faire soi-même, il est possible d’en trouver sur internet ou dans des ouvrages spécialisés. Certains d’entre eux peuvent provoquer le risque du triple retour ». En effet, l’envoûtement peut se retourner sur la personne effectuant le sort si elle n’est pas protégée au préalable. Il faudra alors faire en urgence un désenvoûtement puissant. Très important il n’y aura aucun sortilège comportant de risque sur ce site » Le risque sur les personnes innocentes Tous les sortilèges de magie noire présents sur ce site sont étudiés afin de ne provoquer aucun mal aux personnes qui ne le méritent pas. Pour cela, chaque sort comporte une ou plusieurs photos des personnes qui seront visées. C’est grâce à ces photos, et notamment sur l’énergie qu’elles dégageront au moment de l’envoûtement, qu’il sera possible de viser que les personnes dégageant beaucoup de négativité. Pour résumer, c’est seulement si les personnes visées le méritent qu’il y aura une possibilité de résultat. Par conséquent, ce puissant sortilège du mauvais œil n’aura aucune incidence sur une personne innocente. Voici quelques conseils utiles sur la magie noire et sur ses risques. Le pentagramme et le cercle de protection L’importance du pentagramme A l’origine, tous les rituels de magie noire s’effectuaient à même le sol, souvent en pleine nature. Le sorcier se plaçait face au Nord et traçait un cercle devant lui. A l’intérieur de ce cercle, il dessinait une étoile à 5 branches, la pointe dirigée vers le Nord le pentagramme. Le matériel et les ingrédients du sortilège du mauvais œil se disposent sur cet important symbole de sorcellerie. Désormais, il suffira de représenter le pentagramme sur un carré de tissu d’environ 60 centimètres. De cette façon, il pourra servir plusieurs fois, aussi bien pour les rituels de magie noire que pour les rituels de magie blanche. Ce morceau de tissu devra être posé sur le sol, dans la pièce où vous aurez décidé de faire le sort pour jeter le mauvais œil sur quelqu’un. La pointe principale devra être orientée au vers le Nord. Par ailleurs, je vous conseille d’utiliser une boussole pour être certain de l’orientation. Le cercle de protection Il faut souligner qu’en magie noire, les forces invoquées sont puissantes, bien plus qu’en Magie Blanche. Par conséquent, il est important de les canaliser et de s’en protéger. Le but du cercle magique est de concentrer les énergies à l’intérieur de ce cercle, qui sert également de protection pour qu’elles ne puissent pas se diffuser dans toute la pièce. Le cercle de protection se crée avec du gros sel. Après avoir installé le pentagramme sur le sol, placez-vous devant lui, à l’opposé de la pointe principale qui, je vous le rappelle, est dirigée vers le Nord. Ensuite, prenez une poignée de gros sel, tendez le bras et faites un tour sur vous-même en libérant peu à peu le sel de votre main. Mentionnons que vous pouvez vous y reprendre à plusieurs fois afin de parvenir à l’image ci-dessous. Matériel et ingrédients du sort du mauvais œil Matériel du sort du mauvais œil 2 portes-bougies. Un porte-encens. Une coupe. Une clochette ou une petite cuillère. Une boite d’allumettes. Les 4 éléments Les 4 éléments essentiels doivent se représenter lors de tout sortilège le feu, l’air, la terre et l’eau. Les bougies représentent l’élément du feu, pour ce sort du mauvais œil, 2 bougies noires seront nécessaires. L’encens représentera l’élément de l’air, il améliore la méditation et augmente la concentration. Chaque envoûtement de magie noire comportera un bâtonnet d’encens d’oliban. Je vous conseille d’utiliser de l’encens sous forme de bâtonnet, plus facile à manipuler. Par ailleurs, soyez vigilant sur la qualité de l’encens, seuls les encens naturels apporteront de bons résultats. La pierre représente la terre, il s’agira de l’opale noire, elle se placera entre les 2 bougies. Le philtre de magie noire représente l’élément de l’eau. Il s’agit d’un breuvage destiné à être consommé pendant le sortilège pour mettre le mauvais oeil sur quelqu’un. Vous pouvez les confectionner en suivant les recettes simples de philtres présentes sur ce site. Les ingrédients du sort du mauvais œil Photo de la personne visée Feutre noir Un bol avec peu de terre de cimetière 4 clous de girofle Enveloppe Comment se préparer ? Pour commencer, il est nécessaire de se purifier avant de faire ce sort du mauvais oeil. Il faudra prendre une douche ou un bain et vous laver soigneusement. Ensuite, choisissez des vêtements noirs ou de couleur sombre. Une chemise, un pantalon ou une robe noire feront l’affaire. Je vous conseille une tenue ample pour être à l’aise lors des différentes manipulations. Certains sorciers conseillent de porter des gants, libre à vous d’en utiliser. Par ailleurs, je conseille d’être pieds nu, en contact direct avec le sol. Installez-vous dans une petite pièce, un bureau ou une chambre par exemple. Installez le pentagramme et le cercle de protection au centre de cette pièce. Déplacez les meubles si besoin. Mise en place des éléments Tout d’abord, installez les 2 bougies noires sur les pointes supérieures droites et gauches du pentagramme. Ensuite, placez l’opale noire sur la pointe supérieure, entre les 2 bougies. Installez l’encens d’oliban sur la pointe inférieure droite. Mettez le bol contenant la terre de cimetière à côté de l’encens. Ensuite, placez la coupe contenant le philtre du sortilège du mauvais oeil sur la pointe inférieure gauche. Placez une petite cuillère devant la coupe ou une clochette si vous en avez une. Inscrivez le prénom et la date de naissance de votre ennemi au dos de sa photo avec le feutre noir. Tracez une croix sur la photo, mettez un clou de girofle dans chaque partie. Enfin, posez la photo et les clous au centre du cercle voir l’image. Comment faire le sort du mauvais oeil ? Pour commencer, installez-vous confortablement devant votre autel, à genoux ou en tailleur. Tout d’abord, donnez un petit coup de cuillère sur la coupe contenant le philtre magique ou utilisez la clochette. Cela a pour but d’ouvrir la cérémonie de magie noire. Ensuite, à l’aide d’une allumette, allumez la bougie gauche en premier, ensuite la droite et terminez par l’encens. Méditer quelques minutes en vous concentrant sur le but à atteindre jeter le mauvais œil sur une personne. De la main gauche, prenez la bougie noire de gauche et faites couler de la cire sur le clou de girofle d’une des 4 parties, reposez la bougie et mettre une pincée de terre de cimetière dans cette partie. De la main gauche, prenez la coupe contenant le philtre et buvez-en une petite gorgée. Enfin, reposez la coupe à sa place. Récitez l’incantation du mauvais oeil. Renouveler les étapes de 3 à 6, 3 fois sans faire de pause, en utilisant à chaque fois une partie différente. Pour finir, éteignez la bougie de droite et celle de gauche. Prenez le bâtonnet d’encens et trempez-le dans le reste du philtre. Enfin, fermez le sortilège soit par 2 coups de clochette, soit par 2 coups de cuillère sur la coupe. Après le sort du mauvais oeil Jetez le reste du philtre de magie noire. Rangez le matériel dans un endroit sûr, à l’abri des regards. Mettez la photo avec les clous et le terre dans une enveloppe. Un soir de pleine lune, enterrez cette enveloppe au pied d’un vieil arbre. Quand faire le sortilège du mauvais oeil ? Un sortilège de magie noire doit s’effectuer le dernier jour de la semaine le dimanche. Si vous désirez mettre toutes les chances de votre côté lors de l’élaboration de ce sortilège du mauvais oeil, je vous recommande de prendre en considération la période lunaire. En effet, il est préférable d’agir le jour de la pleine lune ou dans la période des 3 jours qui la précède ou qui la suive car elle est réservée aux rituels de magie noire. Voir le calendrier des lunaisons. Mentionnons que les professionnels ne tiennent généralement pas compte de la période lunaire car leurs rituels sont différents et adaptés. Dans combien de temps arrivent les résultats ? Les effets de ce sortilège pour jeter le mauvais oeil sur une personne commenceront dès le premier jour et se poursuivront pendant 30 jours. Cette période se nomme période d’envoûtement ». C’est dans cette période que doivent arriver les résultats. Dans toutes les pratiques occultes, il faut être patient, les résultats sont rarement rapides. Si vous obtenez un résultat, cela signifie qu’il y a eu réceptivité », l’envoûtement a fonctionné, vous l’avez donc réalisé correctement. Si vous constatez un résultat partiel, cela est certainement un signe de réceptivité. Dans ce cas, vous pouvez renouveler ce sortilège du mauvais oeil. En effet, les envoûtements se cumuleront et il y aura alors de bonnes chances d’obtenir les résultats désirés. De plus, et si cela n’est pas déjà fait, je vous conseille le sort de dédication de magie noire, il vous permettra d’obtenir de meilleurs résultats, et souvent plus rapidement. Si vous ne constatez aucun résultat au terme de la période d’envoûtement, il est possible que les personnes visées soient protégées ou ne méritent pas d’être atteintes par le mauvais oeil. Faire un autre sortilège est possible, mais risque de ne pas obtenir de résultat supplémentaire. Un conseil ne jamais vous acharner lorsqu’un rituel ne marche pas. Pour finir, vous trouverez de nombreux autres rituels de magie blanche efficace sur mon nouveau site ma boutique en ligne. Les sortilèges de magie noire Tous les rituels de magie noire ci-dessous ne peuvent nuire qu’aux personnes impures, vicieuses, malsaines et le méritant vraiment. Ces recettes seront donc inefficaces sur les personnes vertueuses, présentant de bonnes énergies. Jeter un sort pour se venger ou rendre malchanceuse une personne ne doit pas être un acte anodin. Il est important de bien réfléchir à la situation et aux conséquences par exemple, sachez que le sort de rupture d’amour de magie noire est irréversible. Les entités invoquées étant particulièrement puissantes, je vous recommande de bien suivre les indications, respecter les dosages des philtres de magie noire, et ne pas vous tromper lorsque vous réciterez les incantations. Si vous décidez de pratiquer régulièrement la sorcellerie, je vous conseille d’effectuer le rituel de dédication de magie noire, il vous apportera une forte protection et améliorera vos résultats. Sorry! The Author has not filled his profile.
1. En liminaire Selon l’article L111-1 du Code de la propriété intellectuelle L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral ainsi que des attributs d’ordre patrimonial … » Cet article est la reproduction de l’ancien article 1er de la grande loi de 1957, lequel, véritable profession de foi, consacrait des années de lente et cohérente construction prétorienne. Ainsi, le droit d’auteur à la française est composé d’une part, d’un élément moral le droit moral, droit de la personnalité de l’auteur ; d’autre part, d’un élément patrimonial le droit patrimonial, droit économique lié à l’exploitation de l’œuvre. Car, contrairement au système anglo-saxon du copyright, l’œuvre n’est pas qu’une valeur marchande, c’est également et avant tout l’agencement dans le Code de la propriété intellectuelle des dispositions afférentes aux droit moral et patrimonial le démontre le prolongement de la personnalité de son auteur Flaubert Madame Bovary c’est moi ». Et ce droit de la personnalité qu’est le droit moral bénéficie d’une consécration d’autant plus remarquable que, au contraire des autres droits de la personnalité, il ne s’éteint pas à la mort de son titulaire, étant transmissible rappelons que, pour la jurisprudence, une personne, une fois décédée, n’a plus de droit au respect de son ancienne vie privée, et que, pour la loi du 29 juillet 1881, elle n’a pas plus de droit à la protection de son honneur. Ainsi, l’article du Code de la propriété intellectuelle nous indique L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son œuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible. Il est transmissible à cause de mort aux héritiers de l’auteur. L’exercice peut être conféré à un tiers en vertu de dispositions testamentaires. » 2. Les termes du litige C’est en se fondant sur cette dernière disposition que Pierre Hugo, héritier de Victor Hugo poursuivait François Ceresa et les Editions Plon, le premier pour avoir fait publier sous son nom, les secondes pour avoir publié, deux ouvrages présentés comme la suite de l’œuvre Les Misérables Cosette ou le temps des illusions » et Marius ou le fugitif ». La Société des Gens de Lettres s’était jointe aux poursuites, compte tenu de son intérêt à ce que soit tranché un point de droit professionnel d’intérêt général ». Il était particulièrement reproché aux défendeurs un dévoiement du message voulu et donné par Hugo à travers le couple idéal Marius-Cosette, lequel, par la grâce » de Monsieur Ceresa, avait, deux mois après la mort de Jean Valjean, sombré dans la mesquinerie et la vulgarité de la petite bourgeoisie ordinaire ; une transformation radicale de certains des personnages majeurs des Misérables, soit présentés sous des traits de caractères contraires à ceux imaginés par Hugo Marius, de noble et généreux, passé à médiocre et méprisable, soit carrément ressuscités Javert avait en fait été bêtement victime d’un malaise qui l’avait fait chuter dans la Seine, mais, heureusement, un prêtre qui pêchait le poisson dans le coin avait réussi à le sauver et pendant près de 150 ans on n’en avait rien su !. Ce pourquoi les plaignants considéraient qu’il avait été porté atteinte à l’intégrité des Misérables, partant, au droit moral de l’auteur. 3. Le jugement du Tribunal de grande instance de Paris du 12 septembre 2001 et l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 31 mars 2004 Le Tribunal de grande instance de Paris, par un jugement du 12 septembre 2001, avait dit les demandeurs irrecevables. Puis, la Cour d’appel de Paris, par un arrêt du 31 mars 2004, réformant ledit jugement, les avait dit recevables et bien fondés, condamnant les intimés à 1 € de dommages intérêts et à des mesures de publications. Sur le fond, le débat s’était focalisé sur la détermination des propres intentions de Victor Hugo, au travers de ses déclarations lors d’une conférence publique donnée en 1878, mais également à l’occasion de la publication de Notre-Dame de Paris, en 1832, et encore et peut-être surtout, du contenu d’une note de présentation des Misérables. C’est que, comme l’a rappelé la Cour de cassation, le droit moral doit s’exercer au service de l’œuvre, en accord avec la personnalité et la volonté de l’auteur, telle que révélée et exprimée de son vivant. » C. cass. 1ère Civ. 24 oct. 2000. A cet égard, dans sa note précitée, Hugo écrivait, notamment le livre que le lecteur a sous les yeux en ce moment, c’est, d’un bout à l’autre, dans son ensemble et dans ses détails, quelles que soient les intermittences, les exceptions ou les défaillances, la marche du mal au bien, de l’injuste au juste, du faux au vrai, de la nuit au jour, de l’appétit à la conscience, de la pourriture à la vie ; de la bestialité au devoir, de l’enfer au ciel, du néant à Dieu. Point de départ la matière, point d’arrivée l’âme. L’hydre au commencement, l’ange à la fin. » Ce pourquoi la Cour avait conclu que aucune suite ne saurait être donnée à une œuvre telle que Les Misérables, à jamais achevée ». Malheureusement, la Cour avait également émis un jugement de valeur, présentant l’œuvre Les Misérables comme un véritable monument de la littérature mondiale, … n’étant pas un simple roman en ce qu’elle procède d’une démarche philosophique et politique ». Cette motivation, qui n’était pas nécessaire, allait nourrir le pourvoi en cassation que s’empressèrent de former Monsieur Ceresa et les Editions Plon. 4. L’arrêt de la Cour de cassation du 30 janvier 2007 La juridiction suprême entra en voie de cassation, et renvoya l’affaire devant la Cour d’appel de Paris dans une autre formation, aux visas mêlés des articles L121-1 et L123-1 CPI d’une part, et de l’article 10 CEDH liberté d’expression d’autre part. La Cour de cassation indique d’abord que la suite d’une œuvre littéraire se rattache au droit d’adaptation ; que sous réserve du respect du droit au nom et à l’intégrité de l’œuvre adaptée, la liberté de création s’oppose à ce que l’auteur de l’œuvre ou ses héritiers interdisent qu’une suite lui soit donnée à l’expiration du monopole d’exploitation dont ils ont bénéficié » Puis, elle censure au motif suivant Qu’en statuant ainsi, par des motifs inopérants tirés du genre et du mérite de l’œuvre ou de son caractère achevé, et sans avoir examiné les œuvres litigieuses ni constaté que celles-ci auraient altéré l’œuvre de Victor Hugo ou qu’une confusion serait née sur leur paternité, la Cour d’appel, qui n’a pas ainsi caractérisé l’atteinte au droit moral et s’est déterminée en méconnaissance de la liberté de création, a violé les textes susvisés » Assimiler la réalisation d’une suite à une œuvre à l’exercice du droit d’adaptation ne va pas nécessairement de soi l’adaptation, c’est la transposition d’une œuvre d’un genre à un autre exemple du Petit Prince transposé en dessin animé ou bien l’accommodement d’une œuvre à des contraintes spécifiques exemple des traductions ; la réalisation d’une suite c’est prendre sa source des caractéristiques et personnages d’une œuvre préexistante et faire évoluer lesdits caractéristiques et personnages plus ou moins fidèlement à l’œuvre préexistante, en racontant une autre histoire, éventuellement en modifiant la trame de l’œuvre initiale, en créant de nouveaux personnages, en tuant des personnages initiaux… Cette assimilation n’est évidemment pas neutre, sachant qu’il est convenu que le droit d’adaptation est un droit patrimonial, qui tombe donc dans le domaine public une fois expiré le délai du monopole d’exploitation, sans que – malheureusement – l’auteur, pour des considérations tenant à son droit moral, puisse s’y opposer. Tout au plus, l’œuvre d’adaptation doit-elle respecter l’esprit et ne pas dénaturer l’œuvre adaptée ce qui est un doit moral a minima. Partant, et conformément au régime du droit d’adaptation, c’est logiquement » que la Cour, une fois expiré le délai du monopole d’exploitation, refuse à l’auteur le droit de s’opposer à une suite à son œuvre par cela seul qu’il la considèrerait en soi comme une atteinte à l’intégrité de son œuvre. Reste que le fondement invoqué de la liberté de création, sous le visa de l’article 10 CEDH, a de quoi surprendre que vient faire ici l’invocation d’une liberté aussi fondamentale que la liberté d’expression ou de création, pour faire primer un droit économique sur un droit de la personnalité ? pourquoi veut-on opposer la liberté de création au droit moral, alors qu’il n’y a pas de création sans auteur et que le droit moral vient précisément protéger l’auteur et, à ce titre, participe de la liberté de création ? La censure des juges du fond, pour n’avoir pas examiné les œuvres litigieuses ni constaté que celles-ci avaient altéré l’œuvre de Victor Hugo ou qu’une confusion serait née sur leur paternité », en leur reprochant de s’être fondés sur des motifs inopérants tirés … du caractère achevé de l’œuvre » est donc cohérente avec l’assimilation de la réalisation d’une suite à l’exercice du droit d’adaptation. Cohérente mais déplaisante. En effet, qui mieux que l’auteur peut nous donner tous éclairages quant à ce qui doit être considéré comme une violation de l’intégrité de son œuvre ne s’agit-il pas ici d’une matière éminemment subjective ? Le droit moral ne devrait-il pas toujours s’exercer au service de l’œuvre, en accord avec la personnalité et la volonté de l’auteur, telle que révélée et exprimée de son vivant. » arrêt précité ? Et, en l’espèce, ne devrait-il pas nécessairement résulter de la suite donnée par un tiers à une œuvre dont il a été établi que l’auteur la considérait comme achevée, une violation du droit moral de ce dernier ? Or, la Cour de cassation écarte ce constat comme non pertinent » et invite purement et simplement les juges du fond, alternativement, à confronter les œuvres querellées, l’œuvre première » et les deux œuvres secondes » pour vérifier si le contenu des secondes altère le contenu de la première ; vérifier l’existence d’une éventuelle confusion de paternité entre l’une et les autres. La Cour d’appel de Paris, sur renvoi, allait-elle, pour autant, se déjuger ? 5. L’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 19 décembre 2008 Malheureusement, non seulement la Cour d’appel de Paris se déjugerait, déboutant Pierre Hugo et la Société des Gens de Lettres, mais elle adopterait une motivation encore plus déconcertante et décevante que celle de la Cour de cassation. La Cour commence par faire une recherche de la volonté de l’auteur quant à l’éventualité d’une suite à son œuvre on se prend alors à espérer une rébellion contre la Cour de cassation – celle-ci n’avait-elle pas disqualifié le critère tiré de la volonté de l’auteur ? Las, il nous faut aussitôt déchanter la Cour de Paris de conclure qu’il ne peut cependant pas être déduit de ces phrases que Victor Hugo fut hostile à toute adaptation ou suite imaginaire apportée à ses œuvres ». Comment la Cour peut-elle aboutir à une telle conclusion alors que, lors de son premier arrêt, et avec les mêmes éléments de fait entre les mains, elle avait conclu que la position de Victor Hugo était en défaveur d’une suite aux Misérables ? Peu importe de toute façon, car la Cour de nous indiquer aussitôt que là n’est pas la question alors pourquoi se l’être apparemment posée ? Considérant surtout qu’un auteur ne peut, en se fondant sur les attributs du droit moral qui n’est pas un droit absolu, interdire que son œuvre fasse l’objet de toute adaptation et spécialement de toute suite du même genre ; que la liberté de création confère à tout un chacun la faculté de s’essayer à concevoir et à formaliser une suite, une fois l’œuvre tombée dans le domaine public » Dire que le droit moral n’est pas un droit absolu, ne parait guère pertinent aucun droit ne l’est et le droit moral subi son lot de tempéraments ordre public, abus de droit, aménagements spécifiques à certaines matières telles la production cinématographique…. Dire qu’un auteur ne peut, au nom de son droit moral, interdire que son œuvre fasse l’objet de toute suite ne parait pas en accord avec la tradition française du droit moral, lequel a été conçu pour préserver la maîtrise de l’auteur sur son œuvre en tant que prolongement de sa personne, ce qui implique le pouvoir de dire non, et qu’il lui soit conféré le dernier mot, y compris le mot fin. Dire que le droit de faire une suite à l’œuvre d’un autre est ouvert à tous une fois expiré le délai du monopole d’exploitation c’est réduire le droit d’auteur à sa seule dimension économique ainsi donc, l’auteur, ou ses ayants-droit, ne pourraient s’opposer à ce qu’une suite soit donnée à l’œuvre qu’en leur seule qualité de titulaires de droits patrimoniaux sur l’œuvre. Le droit moral n’a, ici, pas voix au chapitre, comme si le droit de faire une suite à une œuvre ne pouvait mettre en cause que des intérêts économiques. A la suite, sans doute pour tenter de corriger un déséquilibre par trop manifeste, la Cour suggère un tempérament à la toute puissante liberté de création enrôlée au seul service du droit de faire une suite à l’œuvre d’un autre. Elle le fait du bout des lèvres Considérant, en revanche, qu’il incombe à l’auteur à la suite d’être fidèle à l’œuvre dont il se réclame, d’en respecter l’esprit, ce qui n’exclut pas pour autant une certaine liberté d’expression et de conception ; que c’est dans l’exercice de cette liberté que l’auteur de la suite fera œuvre originale, en se gardant toutefois de dénaturer l’œuvre première » On ne parle pas d’exception de droit moral, encore moins de respect de l’intégrité de l’œuvre première, simplement de fidélité » à l’œuvre première, de respect de l’esprit », que l’on doit veiller à ne pas dénaturer ». Et, en l’espèce la Cour, après l’examen des faits reprochés, ne tire aucun motif de condamnation à l’encontre de Monsieur Ceresa et des Editions Plon aucune dénaturation du message d’espoir incarné par le couple Marius-Cosette à la fin des Misérables, aucune dénaturation de la dramatique inéluctabilité de la destinée de Javert… 6. Conclusion Ainsi, au nom de la liberté de création, le droit moral devrait s’incliner devant toute suite d’une œuvre se voulant car voulue par son auteur finie. Sous réserve, bien entendu, du respect par l’œuvre seconde de l’esprit » de l’œuvre première on a vu avec quelle sévérité la Cour de Paris s’est employée à faire respecter l’esprit des Misérables. Outre que – répétons-le - on ne voit pas pourquoi le droit moral devrait être considéré comme l’ennemi de la liberté de création, la démarche qui consiste à s’insérer dans le sillage d’un auteur pour s’emparer d’une histoire et des personnages créés par lui avec succès, et ainsi venir tirer profit de bribes de ce succès pour soi-même n’est pas la première illustration qui vient à l’esprit lorsque l’on parle de création. A quand la légitimation du parasitisme économique au nom de la liberté du commerce et de l’industrie ? Il est pourtant parfaitement légitime de la part d’un auteur de refuser que jamais un autre ne fasse une suite à son œuvre, aux motifs que il considère celle-ci comme finie ; il n’entend pas être dépossédé totalement ou partiellement de son œuvre, prolongement de sa personnalité ; il entend protéger son œuvre contre le galvaudage ; il est chez lui… Fort avisé, Cervantes, en réponse à une suite apocryphe de son Don Quichote, avait repris la plume pour donner lui-même à son œuvre une suite et une fin définitive, faisant mourir son héros à cet effet, ainsi qu’il l’avait expressément indiqué en préface. Las, Cervantes n’est pas plus protégé que Hugo contre ceux qui, n’ayant pas assez d’imagination ou de temps pour créer leur propre histoire animée de ses propres personnages, s’adonnent au greffon littéraire, fusse en réveillant des héros morts et enterrés. Xavier Skowron-Galvez Avocat au Barreau de Paris Quelques références Sur l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 31 mars 2004 RIDA, oct. 2004, ; Com. com. élec. 2004, n°50, Sur l’arrêt de la Cour de cassation du 30 janvier 2007 RIDA, avr. 2007, ; JCP-G, 2007, II, 10025, ; GP, 2007, J, Sur l’arrêt de la Cour d’appel de Paris du 19 décembre 2008 Légipresse, mars 2009, III,
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